D’UN MERCREDI A L’AUTRE
MERCREDI 18/01/2012
Puis, il passe à la recoupe manuelle du moyeu ce
qui permettra à celui-ci de venir en contact avec l’alésage de la roue
lorsque la vis de serrage fera son effet et poussera le cône du moyeu sur le
cône de l’axe d’essieu.
Jean-Claude H. vient pour sa part de terminer les fraisages et
procède au nettoyage méticuleux de la fraiseuse, étape importante de
l’usinage. Il est toujours plus agréable de travailler sur une machine
propre.
Un
raccord d’air comprimé nous a subitement lâché. Il faut rapidement réparer
car la soufflette doit rester fonctionnelle. Alain B. n’est jamais très loin
dans ces cas là et avec l’aide de Jacques H. la réparation est traitée de
main de maître.
C’est
l’heure du bon moment et nous sommes 15 autour de la table. On refait le monde
et les histoires fusent.
Sans
perdre de temps, retour à l’atelier et Gilbert termine le remontage du 2°
boggie du plat DECAUVILLE en restauration.
Michel L. est sollicité pour ses talents d’ajusteur pour
assurer la découpe au quart de poil de la planche du plancher au droit du
montant métallique du rancher.
Pendant ce temps, Jacques R. et Guy B. assemblent les planches
sur les ranchers,
et
Didier M. et Michel L. sont au débit. Attention, c’est précis.
Dans
l’autre coin de l’atelier, sur le tour Cazeneuve, on ne chaume pas non plus
et Jean-Marie L. termine la 2° roue du 5° essieu en reprise de profilage.
Et
c’est jacques R. qui, après avoir terminé son assemblage de rancher, vient
donner un coup de main au mouillage, car ces essieux ont été rechargés il y a
quelques temps et la dureté de la bande de roulement est réelle. Il faut
arroser en permanence sous peine de casse immédiate de la pastille carbure. On
voit bien l’avance de la passe sur la photo. A la 2° passe, le plat disparaîtra.