Texte et photos
Jean-Marie LEMAIRE.
Après séchage, mise en place des tampons.
Puis, les boggies sont positionnés sous le châssis avec l’aide indispensable
du palan.
Dans l’ordre et
profitant de la position sous le palan, la cabine est installée sur le châssis.
Puis viennent les bancs, les ossatures latérales, les marches pieds et les
faces avant et arrière des cabines.
Les chaînes
de protection sont installées, l’ensemble commence à ressembler à l’original.
J’aimerai encore être l’enfant qui va s’installer sur le siège en place
conducteur !
Le pied !
Le
compresseur d’air est fixé à sa place et le tuyau de raccordement installé
et raccordé sur le vérin pneumatique du boggie. Le système adopté est celui
de la fuite permanente permettant le desserrage dès que le compresseur s’arrête.
Simple et efficace et compte tenu de la vitesse de roulement, cela suffit
largement sans entrer dans des complexes installations dont les pannes sont
proportionnelles à la technicité.
Les câblots
sont installés, ainsi que le support lanterne. L’engin étant commandé
depuis le wagon d’accompagnement, la prise à droite est destinée aux trois
commandes « frein,
lanterne, klaxon »,
la prise de gauche pour l’alimentation lanterne, la prise centrale sous le
porte-lanterne est une DN19 pour lier la commande des moteurs au boîtier de
commande mobile.
Le câblage électrique commence par l’installation dans le compartiment
batteries du tableau de protection avec ses disjoncteurs. Le compartiment
batteries est dissimulé sous les sièges.
Le boîtier de régulation et de commande des moteurs est installé sur la tôle
de cabine.