Le carnet du CFC

Souvenirs ferroviaires -  Chapitre 7 - Années 1965 - 1971

Jean-Pierre Charlier

Je crois que c’est au printemps 1965 que, ma nièce, une copine, mon neveu et moi avons passé une journée à Dieppe (76). Au départ de Paris-Saint-Lazare, je suis allé voir la locomotive. C’était une pacific ex-Etat, 231 D et le mécanicien, un énorme marteau à la main s’évertuait à replacer un tuyau de sablière dans l’alignement du rail, juste devant la roue. Je me suis toujours demandé comment ce tuyau avait-il pu se désaxer. Au retour de Dieppe c’était encore une 231 D qui nous ramenait à Paris et en attendant le départ nous avons pu observer une 141 R qui stationnait au bout d’un quai. Je n’ai pas d’autres souvenirs marquant de cette journée froide et venteuse. (Je crois qu’à l’aller nous étions passé par la ligne de Pontoise, Gournay, etc. et au retour par la ligne de Rouen).

Début juillet, c’est le départ pour l’armée et pour la première fois je vais voyager en voiture inox. Au départ de Paris-Est, c’est une longue rame de ces belles voitures, BB 16000 en tête, qui nous emmène jusqu’à Metz (57). Pas de souvenirs précis pour ce premier voyage, mais lors des permissions, j’aurai l’occasion de faire quelques rencontres intéressantes. Notamment au départ de Metz pour rentrer sur Paris, nous étions chaque fois dans un train spécial de permissionnaires, et toujours avec une BB 12000 ou 13000, déjà repeinte en vert foncé. La vapeur n’était pas encore complètement moribonde et j’ai eu l’occasion de voir deux 140 C. L’une s’activant en tête d’une rame de wagons tombereaux, la scène fut brève. Une autre fois, en gare de Vitry-le-François je crois, notre train étant stationné en gare, sur une voie parallèle est arrivée au ralenti, une 140 C haut-le-pied, se dirigeant vers le dépôt. Lorsque notre train est reparti, je la revis sur le pont tournant de ce dépôt complètement désert à cette époque. La machine était bien entretenue. Il était fréquent aussi de dépasser des trains de marchandises garés sur des voies d’évitement, afin de laisser passer les convois prioritaires. Chaque fois c’était une 141 R qui était en tête.

Une fois au lieu de rentrer à Enghien, je suis allé à Strasbourg chez ma sœur et mon beau-frère. A l’aller, dans un grand centre ferroviaire, j’ai vu sans doute pour la seule et unique fois une CC 14000. Au retour alors qu’il faisait nuit et qu’il pleuvait, je me suis trouvé face à une locomotive garée certainement autour d’un pont tournant, car elle était orientée perpendiculairement par rapport à notre voie. A travers les vitres ruisselantes, j’ai reconnu une 150 X, sans doute garée là en attente de ferraillage. Bien qu’à cette époque il en restait quelques-unes en service, car les deux dernières furent radiées fin 1965.

De fin décembre et jusqu’à fin octobre 1966, je suis muté à Fontainebleau (77). C’est donc la gare de Paris-Lyon que j’ai fréquentée durant cette période. Le service banlieue était assuré par les automotrices inox Z 5100. J’ai sans doute eu l’occasion de voir tous les engins en service sur cette région à cette époque : BB 8100 et 9200, CC 7100, 2D2 9100 et pour les manœuvres et remontes sans doute les vieux « coucous » genre BB 1 à 80 et 1600. Par contre j’ai vu avec certitude deux raretés, la BB 9003 ou 4 en tête d’un train de voyageurs en direction du Sud, alors que l’on traversait la gare de Melun. Puis à un retour de permission un dimanche soir, le train desservant Fontainebleau, était un express à destination de Montereau en rame tractée. J’allais en tête du train m’enquérir du type de machine et je découvris avec étonnement qu’on y attelait la BB 9001 ou 2. J’ai ainsi vu ou aperçu durant cette période, deux des quatre prototypes que je n’avais vus jusqu’alors que sur des catalogues de trains miniatures ou en modèles réduits dans des vitrines de magasins. Je rappelle que la BB 9004 détenait le record de vitesse de 331 km/h en mars 1955.

Le 24 avril 1966 alors en permission, nous sommes allés un dimanche à Beauvais et avec mon neveu, nous en avons profité pour aller rôder du côté  du dépôt. Sur une voie de l’ancien triangle de retournement (il n’y avait pas de pont tournant à Beauvais) étaient garées trois merveilles, hélas en attente de démolition, mais encore en bon état, à savoir deux pacifics ex-PLM 231 K et une superbe pacific ex-Nord 231 E encore attelées chacune à leur tender. Nous sommes montés dans les abris, tout l’appareillage était en place, rien n’avait été démonté ni vandalisé.

En septembre, avec ma sœur, nous avons passé quelques jours à Saint-Ortaire. C’était pour moi la dernière fois que je me rendais là-bas en train. La gare Montparnasse venait d’être modernisée, mais les 141 P d’Argentan assuraient toujours le service en direction de Granville. A Briouze, la BB 63000 a emmené ses quatre voitures à Bagnoles. Au cours du séjour notre oncle, avec sa 2 CV nous a conduits chez notre sœur et notre beau-frère à Alonnes (72) à côté du Mans. C’est donc de cette gare que nous sommes rentrés à Paris. En gare du Mans est arrivé notre train, tiré par une A1A-A1A 68000. C’était sans doute la première fois que je voyais ce type de machine. Elle a dû être remplacée par une 2D2 5400 pour effectuer le reste du parcours jusqu’à Paris.

En 1967 j’ai fréquenté régulièrement la ligne Enghien Paris-Nord, pour aller travailler à Paris, et je retrouvais les fidèles 141 TC, seules locomotives à vapeur à fréquenter cette gare à cette époque, à part exceptionnellement pour peu de temps, certains week-end quelques 230 D puis 141 R de Creil venant assurer des trains Paris - Le Tréport, avant de céder la place aux diesels BB 66000. Les 141 TC étaient toutefois sérieusement concurrencées par les automotrices inox Z 6100 et par les BB 16500. C’est aussi la période où je commençais à me rendre au dépôt des Joncherolles. Il se situe sur la commune de Villetaneuse (93), un peu après Saint-Denis. La première fois, c‘était avec mon neveu, sur nos Solex, un samedi après-midi glacial de janvier ou février. Parmi la multitude de 141 TC , il y avait cette fois là, la 141 R 298 et la 230 D 126, toutes deux en provenance de Creil et une curiosité, une 231 C réformée, démunie de ses écrans pare-fumée, attelée à son tender 37 A. Cette machine était parfois mise en tête des rames de banlieue pour y assurer le préchauffage en période hivernale. J’ai encore quelques photos notamment de la 230 D. C’est peut-être ce jour là que j’ai vu à l’extrême gauche sous la rotonde une 231 E et la 030 TU 15 toutes deux réformées. La 231 E devait être une des trois dernières du dépôt de La Chapelle qui lors de sa fermeture, ont été affectées quelques temps aux Joncherolles pour assurer des trains Paris-Laon-Hirson. Il s’agissait des 231 E 25, 26, et 47, puis la 48 de Calais est venue remplacer la 47. Mais que faisait encore dans ce dépôt une machine qui était réformée depuis fin 1962 ?

En février 1967, ma nièce, mon neveu et moi avons passé un dimanche à Provins (77). De Paris-Est nous nous sommes rendus à Longueville, d’où un curieux autorail nous a conduits à Provins. Il s’agissait d’un autorail Billard construit à deux exemplaires (entièrement rouge) à voie normale. Cette firme était spécialisée dans la construction d’autorails à voie métrique. Cet engin est venu sur cette ligne d’avril 1965 à 1968. Auparavant il circulait sur le réseau CFTA des Vosges (ligne de Charmes à Rambervillers et Bruyères). En fin d’après-midi nous sommes retournés en gare. La 131 TB 29 était en cours de préparation pour le train de retour, stationnée devant une remise au fond de laquelle était garée la 141 TB 438. La 131 s’est mise en tête d’une rame formée de vieilles voitures ex-armistice, voitures à deux essieux avec un poêle à charbon au milieu de la plate-forme d’accès. Tout un folklore… Je n’ai plus le souvenirs du type de loco tractant le train de Paris, mais à cette époque c’était très certainement une diesel A1A-A1A 68000.

En ce début d’année 1967, à Paris-Nord, chaque matin en descendant du train, il y avait en instance de départ pour Beauvais, un curieux autorail attelé à une classique remorque unifiée rouge et crème. Il s’agissait du prototype X 2051 à caisse en inox.

Durant cette même période, alors que mon train entrait en gare d’Enghien (en provenance de Paris-Nord), j’ai brièvement aperçu un spectacle inhabituel. Sur l’autre voie, un train croiseur est arrivé tiré par une 141 TC, mais celle-ci était attelée en tête du train, cheminée côté voitures. Position rarissime puisque ces locos, dans ce sens de circulation sont toujours placées en pousse de la rame. Encore plus étonnant, cette rame était formée de voitures B11 que l’on ne voyaient jamais sur cette ligne réservée au trafic banlieue. Encore un mystère de plus…

En juin, le lundi de pentecôte, avec mon neveu, nous sommes allés au dépôt de Trappes (78). En entrant sur notre droite étaient rassemblées des 141 R fioul sous pression et des BB 66000, puis sur notre gauche il y avait de nombreuses machines « garées bon état », c’est-à-dire, susceptibles de reprendre du service. Notamment des 040 TA, 140 C, 141 C, certaines avec une protection sur la cheminée. Il y avait une 141 C sous une remise en cours de réparation, certains essieux étant déposés. Puis est arrivée une autre 141 C qui venait de passer sous le toboggan à charbon. J’ai d’ailleurs cette scène sur une diapositive. Je me souviens aussi d’une 231 D dont l’abri était dans un triste état, était-ce suite à un déraillement ou peut-être à une fausse manœuvre de la part d‘un grutier ayant heurté la machine avec sa benne en voulant remplir le tender… Il y avait aussi plusieurs tenders alignés sur une voie, avec écrit à la peinture blanche « train d’eau » . Je n’ai jamais su la signification ni la raison de ce marquage.

Au mois d’août, je suis parti en vacances itinérantes avec un copain (j’avais acheté la Dauphine en avril), et nous avons séjourné quelques temps à Dore-l’Eglise (63). Mes parents se trouvaient là aussi, et le jour de leur départ je les ai raccompagnés à la gare d’Arlanc (ligne Vichy - Sembadel - Le Puy-en-Velay). Venant du Puy est arrivé un couplage d’autorails. Celui de tête emmenant les parents, est parti en direction de Vichy, l’autre restant en gare pour retourner sans doute vers le Puy quelques temps plus tard. L’un des autorails était un ABJ Renault X 3000, l’autre étant un VH Renault X 2000 (surnommé Iroquoi, car le radiateur situé sur le toit rappelait la coiffure des célèbres indiens). Par une sombre journée, nous sommes partis à Clermont-Ferrand. Du haut d’un pont situé à la sortie de la gare, nous avons assisté à un échange de traction. Une 241 P fut coupée de son train avec un fourgon voyageur qu’elle alla refouler le long d’une halle à marchandises tandis qu’une diesel BB 67000 prenait sa place en tête du convoi pour le conduire par la ligne des Cévennes, sans doute à Nîmes. J’ai pris quelques photos, mais elles furent ratées, le ciel étant trop gris, comme essayait de me faire comprendre le mécanicien penchée hors de son abri avec de grands gestes. A la suite de ce séjour, nous sommes partis vers le sud et avons suivi la route nationale106 parallèle à la ligne des Cévennes. Peu après Langogne, lors d’une halte nous avons vu une BB 67000 emmener un train de marchandises en direction d’Alès. Ce sont les seuls souvenirs ferroviaires que m’ont laissé ces vacances.

Je ne sais plus si ce qui va suivre se passe avant ou après ce séjour, mais avec ce copain, nous avions passé un week-end en Normandie. Sur le retour nous nous sommes arrêtés au dépôt d’Argentan. A l’entrée, deux longues voies qui longeaient les remises, débouchaient sur un pont transbordeur. Ces voies étaient occupées par un grand alignement de 141 R et P en pression. Une 141 P a emprunté le transbordeur qui emmena la machine de l’autre côté des remises, puis elle s’est dirigée vers la sortie du dépôt. Mais c’était les derniers beaux jours de ce site, car il n’allait par tarder comme tant d’autres à fermer ses portes…

Je vais regrouper ici tous mes souvenirs concernant le dépôt des Joncherolles, car je m’aperçois qu’ils sont confus, m’y étant rendu maintes fois entre 1967 et 1971. Les dernières circulations vapeur entre Paris-Nord et Valmondois ont eu lieu le 12 décembre 1970. Au départ de Paris, avec la 141 TC 64, et le dernier train rentrant dans Paris fut assuré par la 141 TC 54. Je me suis rendu aux Joncherolles pour la dernière fois début 1971 pour assister à un spectacle de désolation. Toutes les voies rayonnant autour du pont tournant étaient garnies de machines inertes, deux grues à combustibles étaient aussi rassemblées à côté des 141 TC ainsi que quelques 050 TQ et 040 TG. Plus aucun bruit, pas âme qui vive, un ciel gris, ambiance sinistre…

Pour assurer les manœuvres internes au dépôt, il y avait une 040 TG. Un jour je l’ai vu manœuvrer une 050 TQ froide, les machines s’engageant sur le pont tournant qui était tout juste assez long pour contenir les deux engins, puis après orientation du pont , la 050 TQ fut refoulée sous la rotonde, sans doute pour réparation.

Un jour j’ai photographié une 141 R évoluant sur le pont tournant. Vingt ans plus tard regardant cette diapositive sur écran, je m’aperçois quelle porte le numéro 420. Je reparlerai plus loin de cette machine au curieux destin.

Un autre souvenir se situe celui-là en mai 1968 pendant la période des grèves. La « porte dérobée » par laquelle on accédait au dépôt débouchait sur la voie dite de sortie de secours (je l’ai vu sur un plan). Cette voie était visiblement peu fréquentée, car enherbée et rouillée. Or ce jour là je me suis trouvé en présence d’une 141 TC froide (comme toutes les locos du dépôt à cette période), mais de plus elle était partiellement déraillée, un des essieux moteurs reposant sur le ballast. Une tentative de remise en place avait du être effectuée sans succès car sous l’une des roues était engagé une sorte de sabot enrailleur. Pendant mes observations, sont arrivés par la même porte, trois cheminots se rendant non pas au travail, mais allant assurer leur piquet de grève. Eux aussi avaient l’air de découvrir la situation de cette locomotive, et ils m’ont dissuadé de m’engager plus loin dans le dépôt compte tenu des évènements en cours. Je n’ai donc pas su pour quelles raisons cette loco se trouvait sur cette voie et pour quelle raison elle était déraillée. Je pense que la voie étant en courbe serrée à cet endroit, cela pourrait expliquer le problème… Toujours est-il que retournant sur les lieux un peu plus tard, la loco n’était plus là, mais j’aurai bien aimé assister à cette manœuvre de remise sur rails.

Durant les mêmes années je me rendais aussi au dépôt de Beaumont (95). Au bout du chemin d’accès il y avait une plaque tournante de plus faible diamètre qu’aux Joncherolles et qui était manœuvrable manuellement. Elle ne devait pas servir souvent car les 141 TC gardaient toujours la même orientation (cheminée tournée vers la province). Cependant un jour que nous arrivions mon neveu et moi, il y avait dans cette zone habituellement déserte, deux ou trois ouvriers. On leur explique le but de notre visite et ils nous disent un peu en rigolant : « c’est dommage que vous ne soyez pas arrivés un peu plus tôt, vous nous auriez aidés à tourner une loco ». Ils nous ont expliqué aussi que quelques jours auparavant, à la suite de travaux effectués sur une 141 TC, elle avait été poussée à 120 km/h sur la ligne de Beauvais, ce qui est étonnant pour une loco dont la vitesse limite en service est de 105 km/h. Dans ce dépôt c’était une 040 TG qui assurait aussi les manœuvres, mais un jour ou plutôt un soir car il faisait nuit, c’est une 050 TQ qui était stationnée devant la rame de wagons de charbon. Un ouvrier qui, sans doute était préposé à la surveillance des feux de machines en stationnement, nous a invités a monter avec lui sur la 050, dans le foyer de laquelle il a envoyé quelques pelletées de charbon. Puis ensuite, nous a proposé de monter dans la grue à combustible stationnée le long des wagons dans lesquels il a prélevé quelques godets de charbon pour nous faire une démonstration. Mais je n’étais pas vraiment à la fête et j’avais hâte de descendre, car la cabine de la grue était loin d’être aussi spacieuse que celle de la 050 d‘autant que j‘étais positionné entre le conducteur et la petite chaudière de cette grue à vapeur. Mes jambes étaient juste devant le foyer et je sentais une telle chaleur à travers mon pantalon que je craignais qu’il ne s’enflamme brusquement.

...C'était une Pacific ex-Etat 231 D et le mécanicien, un énorme marteau à la main s'évertuait à replacer un tuyau de sablière dans l'alignement du rail, juste devant la roue...
Photo Félix Fénino
231 D (sans lieu ni date)

... en attendant le départ, nous avons pu observer une 141 R qui stationnait au bout d'un quai...
Photo Raymond Floquet
141 R (sans lieu ni date)

... c'est une longue rame de voitures inox, BB 16000 en tête qui nous emmène jusqu'à Metz...
Photo Yves Broncard
BB 16000 et voitures DEV inox, se mirant dans les eaux du canal de la Marne au Rhin, vers 1964.

... nous étions dans un train spécial de permissionnaires et toujours avec une BB 12000 ou 13000, déjà repeinte en vert foncé...
Photo Yves Broncard
Express Longwy—Nancy, remorqué par la BB  13041, en juin 1981.

... j'ai vu avec certitude deux raretés, la BB 9003 ou 4 en tête d'un train de voyageurs...

Photo Irlande
BB 9004 (sans lieu ni date)

... et je découvrais avec étonnement qu'on y attelait la BB 9001 ou 2...
Photo Yves Broncard
BB 9002 quittant Lyon-Perrache pour Paris, en 1958.

... sur une voie étaient garée trois merveilles, hélas en attente de démolition mais encore en bon état : deux Pacific ex-PLM 231 K et une Pacific ex-Nord 231 E (Chapelon)...
Photo Félix Fénino
231 K ex-PLM au dépôt de Paris-La Chapelle vers 1960.

Photo Marc Dalhström
Au dépôt de Calais, la 231 E 17 (Chapelon) s'apprête à assurer la Flèche d'Or, en juin 1962.

Mes premières photos réalisées au dépôt des Joncherolles, début 1967.

... un curieux autorail nous a conduits à Provins...
Photo Yves Broncard
Autorail Billard, type A 150 D5 en gare de Provins.

... La 131 TB 29 était en cours de préparation pour le train de retour, stationnée devant la remise...
Photo Jean-Pierre Charlier
131 TB 29 et 141 TB 438 (sous la remise) à Provins.

... en entrant dans le dépôt sur notre droite étaient rassemblées des 141 R fioul et BB 66000...
Photo Jean-Pierre Charlier
141 R et BB 66000 au dépôt de Trappes (78) en juin 1967.

Photo Jean-Pierre Charlier
141 C 97 devant le tobogan à charbon, Trappes juin 1967.

... Le dépôt des Joncherolles (93) m'y étant rendu maintes fois entre 1967 et 1971...

Photo Jean-Pierre Charlier
Autour du pont tournant sont rassemblées les 141 TC 39, 50, 33, 57 et la 030 TU 15.

Photo Jean-Pierre Charlier
La 141 R 420 (dépôt de Creil). J'étais loin d'imaginer que dix ans plus tard j'en deviendrai copropriétaire, mai 1967.

... Le dépôt des Joncherolles (93) m'y étant rendu maintes fois entre 1967 et 1971...
Photo Jean-Pierre Charlie
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Sous la rotonde sont réunies les 141 TC 16, 57, 050 TQ 32, 141 TC 4, ? et 27, en octobre 1970.

Photo Jean-Pierre Charlier
La 050 TQ en juin 1968.

...durand les mêmes années, je me rendais aussi au dépôt de Beaumont (95)...

Photo Jean-Pierre Charlier
Les 141 TC 42 et 64, devant les fosses noyées, juin 1969.

Photo Jean-Pierre Charlier
La 040 TG 42, en juin 1967.

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