Au Dépôt

 

 

JUNG ZL 114 n° 7604, les travaux 2008 dans les grandes lignes (suite du n° 137 et 138) :

Fin Mai, à mon domicile, après avoir récupéré un vieux fut métallique, je l'équipe de roulettes et d'une vanne, puis j'y mets à tremper les fourches de la boîtes de vitesse et la tête d'embrayage dans du pétrole.

Le fut métallique équipé de roulettes et d'une vanne (31/05/08).
Dégraissage des pièces dans un bain de pétrole (31/05/08).

Août 2008 : de retour au parc des Chanteraines pour un nouveau chantier d'été, et grâce à l'aide précieuse de Michel et Jérémie, nous sortons tout le matériel garé sur la voie Decauville, installée dans le dépôt 2 entre les voies 6 et 8. La plupart du matériel n'ayant pas d'attelage, il faut tout sortir à la main et avec la courbe et contre courbe serrée du dérailleur, il faut parfois y mettre tout notre cœur. Le but de ces grandes manœuvres : dégager le wagonnet de gueuses d'attelage et tôles ainsi que le wagonnet benne de lest stockés tout au fond. Heureusement, le petit Decauville et l'O&K ont pu être mis à contribution pour faciliter un peu le tri. Tant et si bien qu'après moins d'une heure les deux wagonnets sont sortis. Merci à vous pour ce coup de main efficace !

432_3296.jpg (63970 octets) Le matériel de la voie Decauville est sorti à la main... (10/08/08)
... pour dégager le wagonnet de lest (notez les portes du Plymouth n° 9) et...
... le wagonnet de gueuses. Allez les amis, du nerf ! (10/08/08)
C'est pas tout ça, mais il faut tout rentrer maintenant. Ho hisse ! (10/08/08)
Courage les gars plus qu'une dizaine à rentrer (10/08/08).
Alors ? ça fait comment sur la sauterelle ? (10/08/08)
Les wagonnets convoités sont rapidement sortis de leur léthargie (10/08/08).

Pendant que Michel et Jérémie rentrent chez eux, j'effectue une dernière manœuvre pour rentrer dans l'atelier l'ensemble du matériel dans l'ordre suivant : wagonnet plat (Decauville) de gueuses d'attelage, tôles et lest de siège en tête, immédiatement suivi du châssis du Jung, du wagonnet (Decauville ?) de pièces et boîte de vitesses, du petit O&K, puis enfin le wagonnet benne (Pétolat) contenant la grenaille de lest du caisson avant. Bref, une composition digne de nos amis modélistes. Certes, ces manœuvres pourront vous sembler bien compliquées, en réalité il n'en est rien et elles vont, au contraire et comme vous pourrez le constater, grandement me faciliter la suite des opérations. Le soir même de cette première journée, je décharge les gueuses d'attelage et autres tôles de capot moteur et de cabine du premier wagonnet.

Le soir du premier jour ; déchargement des gueuses d'attelages et tôles (10/08/08).
Les gueuses sont déposées de chaque côté (10/08/08).

Dès le lendemain, après avoir réalisé un second attelage pour le wagonnet benne, profitant du beau temps, je bascule la grenaille de lest du wagonnet sur une bâche disposée au sol. Ceci afin de recueillir la poussière de rouille et les scories présentes en quantité impressionnante. Une première tentative de lavage sous haute pression se révèle être un joyeux et inutile éparpillement de la grenaille, même si les plus petits morceaux mesurent tout de même 1,5 cm cube. Trop puissant !? Qu'à cela ne tienne, j'ai tôt fait de trouver la parade : une vieille grille faisant office de tamis posée sur un petit support me permet de laver au jet une à deux pelletée. La benne en position semi basculée me facilite le rechargement de la grenaille ''propre''.

Mine de rien c'est drôlement lourd ! Le madrier est bien utile (11/08/08).
Le grand nettoyage peut commencer... (remarquez le ''crochet'' provisoire) (11/08/08)
Après lavage, la grenaille encore humide est rechargée. Remarquez les gros boulets (11/08/08).

Avant de poursuivre mes travaux, je consacre plus d'une journée à la révision du wagonnet plat Decauville sur lequel étaient les gueuses d'attelage (remplacement des cales en bois de boîtes d'essieux, révision des boîtes et remontage à la graisse neuve) ainsi qu'à la révision d'une boîte d'essieu du wagonnet benne Pétolat (voir anciens n° de LVDC).

Soutenu par le palan, la première boîte du wagonnet plat Decauville est déposée (12/08/08).
433_3357.jpg (52316 octets) Les cales en bois de boîtes d'essieux sont remplacées (12/08/08).
433_3359.jpg (63305 octets) Après perçage et ajustement, la première est en place ; les autres vont suivre (12/08/08).
433_3362.jpg (50590 octets) Dépose d'une boîte d'essieu du wagonnet benne Pétolat (12/08/08).
433_3361.jpg (72091 octets) Vue en gros plan, la fusée est en très bon état (12/08/08).
434_3422.jpg (52289 octets) Partiellement décapée, elle a belle allure une fois remontée (14/08/08).
Gros plan sur le crochet provisoire d'un wagonnet benne Pétolat (09/02/09).

Le mercredi, journée de travaux pour tous au CFC, Jean-Marie me donne un coup de main pour réaléser les paliers, ovalisés par l'usure, de l'axe de la pédale d'embrayage sur la boîte de vitesses. Afin d'éviter de la redémonter entièrement pour cet usinage, elle est montée à l'envers sur le traînard du tour ; le petit chariot ayant été déposé pour l'occasion, libérant ainsi les rainures en queue d'aronde providentielles pour brider la boîte de vitesses. Merci à toi Jean-Marie.

Il ne me restera plus qu'à fabriquer deux paliers en bronze pour compenser la différence de diamètre.

La boîte de vitesses est bridée à l'envers sur le traînard du tour (13/08/08).
Alésage, Jean-Marie aux manettes (13/08/08).
Et voilà deux paliers comme neufs ! (18/08/08)

Les journées suivantes seront consacrées au montage à blanc, au décapage, à la peinture des gueuses d'attelage puis enfin à leur montage final. Pour ce faire, je dois positionner les U métalliques, les contrepercer, positionner et percer les cales de bois. L'utilité des U métalliques et des cales de bois est double : les U métalliques fixés au châssis permettent de fixer les gueuses d'attelage au travers des cales de bois, tandis que ces dernières permettent d'amortir les chocs et de compenser, avec les U métalliques, le retrait de la traverse avant par rapport au tablier. Sans ces pièces intermédiaires, qui permettent le montage de ces gueuses d'origine inconnue (qui saurait identifier à quel type d'engin elles ont appartenu ?), il aurait fallu des boulons plus gros encore et surtout beaucoup plus longs ! Seul hic, qui ne me facilite pas les choses, car il en faut bien un : les gueuses n'ont ni la même largeur ni la même hauteur ! La gueuse arrière (qui en réalité est une gueuse avant vu le trou guide manivelle) est plus haute que le châssis et plus étroite que celle fixée à l'avant... inutile de dire que le positionnement fut une partie de plaisir. En fait cela a été assez simple ; avec quelques cales de bois, le palan électrique de 5 t (décidément très très pratique pour un positionnement au millimètre) et mes piges de positionnement, mais avant cela il m'a aussi fallu fabriquer un crochet spécial afin de pouvoir redresser et lever la gueuse d'attelage avant. Le châssis, plus léger sans son moteur et sa boîte de vitesse, levant le nez au ciel a retrouvé une horizontalité provisoire grâce au lest de cabine (normalement sous le ''siège'' conducteur - en réalité une simple planche) déposé devant la calandre.

434_3423.jpg (60502 octets) Fabrication d'un crochet spécial pour redresser et lever la gueuse avant (14/08/08).
Redressement et levage en toute sécurité (14/08/08).
Présentation de la gueuse avant à l'aide du palan. Le lest de cabine posé à l'avant de la calandre permet de mettre le châssis à l'horizontale (14/08/08).
Pointage et perçage des trous de fixation des U métalliques au châssis... (14/08/08)
... puis contreperçage des cales de bois (14/08/08).
Présentation de la gueuse avant avec les cales de bois (14/08/08).

Une fois les U métalliques percés et montés à blanc, il m'a fallu fabriquer une scie cloche (n'en ayant pas au CFC) adaptée tant au diamètre des écrous qu'aux cales de bois arrière plus épaisses. Heureusement j'ai trouvé une chute de tube au diamètre idéal qui, une fois percé, soudé sur un bout de rond, usiné pour retrouver une bonne concentricité et quelques coups de disqueuse, me permet d'obtenir un outils dont les performances dépassèrent mes espérances (heureusement il ne s'agit que de bois...).

La scie cloche spécialement fabriquée avec des chutes de tube et ferrailles divers (15/08/08).
Les dents découpées à la meuleuse et avoyées à la main donnent entière satisfaction (16/08/08).
La première cale de bois semble bien se positionner (16/08/08).

Après montage à blanc des cales de bois, je mets en place les vis de fixations de la gueuse d'attelage avant, présente et visse celle-ci, puis emmène le châssis à la plaque tournante, avec le petit loco O&K et le wagonnet de pièces, où je le retourne afin de présenter l'arrière sous le palan de 5t.

Les cales de bois en place après encochage (16/08/08).
La gueuse d'attelage avant est fixée ! (16/08/08)
Demi tour sur la plaque tournante du dépôt (16/08/08).
De retour sous le palan, c'est au tour de la gueuse arrière (16/08/08).
La gueuse d'attelage arrière ne doit pas être plus basse que le bas du châssis et centrée bien sûr, mais elle est plus étroite encore que celle de l'avant. Cependant, bien que plus grosse et plus lourde, elle est munie d'une patte formant un œil qui facilite grandement sa manutention. Quand une méthode fonctionne, il suffit de la répéter, aussi, je me contente de poser la gueuse sur des cales, d'y fixer les cales de bois et de présenter le châssis pour repérer la position des vis. Ensuite, perçage et carottage des trous des vis et écrous en bonne place. Enfin un montage à blanc permet de vérifier le bon positionnement des trous. Le caisson de lest avant étant encore vide et le moteur absent, vu le poids de cette gueuse d'attelage, le nez du châssis pointe de nouveau vers le ciel. Quelques tour de roue en extérieur confirment la tendance... mais il a quand même belle allure !
Les U métalliques n'ont que trois trous pour le moment... (16/08/08)
... après pointage et perçage, il sont fixés au châssis (17/08/08).
Les planchettes en bois, maintenues sous le châssis, facilitent la mise à niveau de l'ensemble tandis que les cales de bois sont, elles, fixées à la gueuse par des serre-joints... (18/08/08)
... puis démontées et percées... (18/08/08)
... et enfin carottées avec la scie cloche ''maison'' qui pénètre jusque à la garde (18/08/08).
Et voilà ! Remarquez les trous tangents (18/08/08).
Enfin un montage à blanc permet de vérifier que les trous sont bien positionnés (18/08/08).
Le poids de la gueuse arrière fait pointer le nez du châssis vers le ciel (18/08/08).

Parfait ! Maintenant que toutes les pièces de fixation des gueuses d'attelage sont prêtes, je peux redémonter les gueuses avant et arrière pour les décaper et les repeindre. Une fois de plus c'est le wagonnet plat qui est mis à contribution afin d'effectuer ce chantier poussiéreux dehors, et profiter du soleil par la même occasion. J'en profite pour peindre également les perçages des cales de bois et des U métalliques.

La gueuse d'attelage arrière est redémontée pour décapage au soleil (18/08/08).
Le démontage de la gueuse d'attelage avant avec le palan à chaine est long et fastidieux ! Ce sera la seule et dernière utilisation de celui-ci !! (18/08/08)
Le décapage de la surface fait apparaître des stries concentriques d'usinage ! (18/08/08)
En fin de soirée, les premières surfaces sont peintes (18/08/08).
Le lendemain, c'est au tour de la deuxième gueuse d'attelage (19/08/08).
Les cales de bois reçoivent également un complément de peinture (19/08/08).

Pendant que la peinture sèche, avant de retourner les gueuses d'attelage pour décaper les autres surfaces, je dépose le capot moteur et transfert le châssis à la zone de soudure où je bouche les trous inutiles (1 trou à l'avant) et ceux à reprendre (3 trous à l'arrière). Après meulage du surplus, pointage, perçage, taraudage et peinture, les trois trous arrière servant à la fixation de l'arrière de la cabine sont comme neufs.

Ce trou à l'avant ne sert à rien. Il n'existe pas sur la calandre. Ce qui me laisse supposer que celle-ci a été remplacée (18/08/08).
Pour boucher ce trou à la soudure, une brique est maintenue par une cale de bois, cale que j'ai oubliée en place (22/08/08).
Les trous de fixation de l'arrière de la cabine, trop abimés, ont été rebouchés et meulés... (20/08/08)
... puis repercés et taraudés. Enfin une retouche de peinture a rendu son éclat au châssis (20/08/08).

Deux jour après, alors que la peinture des gueuses est bien sèche, je les redresse et m'attaque à la suite de leur décapage en commençant par les zones de fixation ; le reste pouvant être fait après remontage des gueuses si besoin. Finalement, le décapage avançant bien, seuls les creux des nervures d'attelage seront laissés de côté, faute d'outil adapté pour les décaper correctement. Le temps étant à l'orage, ce travail a été interrompu à plusieurs reprises par la pluie juste suffisante pour me faire rentrer le matériel et s'arrêter aussitôt !

Les gueuses d'attelage sont redressées sur le wagonnet... (21/08/08)
... et le décapage des autres surfaces peut commencer (21/08/08).
Petite pause dans le dépôt, contraint par la pluie ! (21/08/08)
Le décapage se prolonge tard dans la nuit... (22/08/08 - 0h27)
... si bien qu'à 3h du matin, la peinture des gueuses (sauf les nervures) est terminée... (22/08/08)
... et dans la soirée, la deuxième couche est passée. C'est mieux non ? (22/08/08)

Pendant ce temps, chez Merlin Castet, la chemise cassée a été grugée (usinée de bas en haut afin de la couper et qu'elle se referme pour la démonter). Une petite visite auprès de ce sous-traitant me permet d'apprécier le soin apporté à cette opération délicate. Malheureusement il m'annonce que la chemise Berliet, envisagée pour son remplacement, ne comporte pas d'épaulement et ne pourra finalement convenir. Dommage car, bien que plus longue, les cotes intérieure et extérieure correspondaient. Il aurait suffi de la raccourcir et d'usiner les lumières. HELP ! si vous avez une idée, faites-moi signe (denis.le.tourneau@ens-lyon.fr).

Les cotes de cette chemise sont les suivantes :

Une ébauche tubulaire pourrait convenir, mais il faut normalement de la fonte centrifugée.

Le carter moteur et la chemise grugée (22/08/08).

Le lendemain, le remontage final des gueuses d'attelage commence. L'opération, maintenant bien rodée, se déroule sans soucis. Les cales de bois avant n'étant pas assez épaisses pour pouvoir mettre un contre écrou aux boulons de fixation des U métalliques, les écrous sont arrêtés par une goupille fendue placée devant et traversant donc uniquement les vis. Après retournement sur la plaque tournante, et quelques photos pour le plaisir de la belle lumière du soir, même opération de remontage pour la gueuse arrière. Pour celle-ci les cales de bois ont une épaisseur suffisante pour le montage de contre écrous aux boulons de fixation des U métalliques ; par contre ce n'est plus possible pour les vis de fixation de la gueuse, mais comme il y en a 6 et non 4, on s'en contentera. Pour finir (à l'arrière) je remets en place (provisoirement) l'arrière de cabine car la fin du chantier approche.

Une goupille traversant la vis assure l'écrou des U métalliques avant (23/08/08).
Les vis et cales de bois sont en place, la gueuse d'attelage de niveau... (23/08/08)
Un demi tour de plus sur la plaque tournante. Remarquez les panneaux d'autoroute (23/08/08).
Pour le plaisir de la lumière et de l'ambiance au dépôt (23/08/08).
Et voilà la deuxième remontée ; ne reste que les écrous à mettre (23/08/08).

Il fait nuit, mais tant pis, il faut continuer car je veux encore remplir le caisson de lest avant ! C'est l'occasion d'un train de nuit spécial (mais qui ne fait pas couchette et en plus c'est un marchandises !) pour un énième retournement sur la plaque tournant du dépôt. De retour à l'atelier, je retire la gueuse de cabine

de devant la calandre et redépose le capot moteur afin d'accéder plus facilement aux trous de remplissage du caisson de lest avant. Empruntant une pelle à charbon sur une loco, je cale la benne du wagonnet de grenaille en position partiellement basculée (décidément toujours aussi lourde et la fatigue n'arrange rien), ainsi le travail est moins pénible, mais je ne peux m'empêcher d'avoir une pensée respectueuse des mineurs et autres corons pour qui c'était le quotidien. Bref, tant et si bien qu'après tant de mal, de sueur, d'obstination, mais également je dois l'avouer de satisfaction d'une nouvelle étape importante bientôt terminée du remontage de ce locotracteur.

Train spécial de nuit direction la plaque tournante, encore et encore ! (23/08/08)
Dépose du capot afin de remplir le caisson de lest avant (23/08/08).
Respect pour les mineurs et autres corons pour qui c'était le quotidien (23/08/08).
439_3941.jpg (39370 octets) Des ''bavettes'' en carton pour protéger la peinture lors du remplissage déjà bien avancé (24/08/08).
Je touche au fond ! voilà qui est encourageant ! (24/08/08)
Après la grenaille, reste encore ces gros boulets d'acier... (24/08/08)
... à disposer en rang serré. Ouf ! c'est rentré ! (24/08/08)

Après une bonne nuit réparatrice, quel plaisir de voir que le châssis a retrouvé son horizontalité. L'opération suivante, la remise en place de la gueuse de lest de cabine nécessite un nouveau passage sur la plaque tournante. Ah, si j'avais eu un peu plus de place sur la voie du palan électrique, cela aurait été plus simple et m'aurait évité tous ces retournements qui, vu leur nombre, me prennent au final un temps considérable, mais bon le principal est de pouvoir atteindre le but de ce chantier : le remontage définitif des gueuses d'attelage avant et arrière, ce qui est fait, mais aussi de libérer le wagonnet plat et la benne basculante ; ce qui sera fait aussi. Pour l'heure, la remise en place du lest de cabine est donc provisoire vu que la remise en état de l'arrière de cabine reste à faire. Je découpe donc quelques cales de bois afin d'assurer une assise correcte au lest et remet le lest de cabine en place. Ceci fait, il est grand temps de ranger les outils, de nettoyer, de remiser châssis et wagonnet de pièces au fond du dépôt n° 2, tandis que le wagonnet à benne basculante est rendu au service sur la voie Decauville et le wagonnet plat laissé à disposition dans l'atelier.

La benne est vide ! et le châssis a retrouvé son horizontalité (24/08/08).
Ultime retournement pour remettre la gueuse de lest de cabine (24/08/08).
Des cales de bois assurent une bonne assise au lest de cabine (24/08/08).
Retour au fond du dépôt n° 2 sous l'oeil d'Alexandre (24/08/08).
A son tour, le wagonnet benne Pétolat est remisé (24/08/08).

Page precedente